
Après Edouard – « Un directeur commercial pas comme les autres », nous revenons cette semaine avec un deuxième portrait pour vous rapporter le ressenti d’un nouveau Capeneur et vous faire découvrir un peu plus notre quotidien d’expert linuxien ! C’est Damir, 28 ans, un ingénieur systèmes passionné par l’Open Source qui s’est prêté au jeu de l’interview !
Peux-tu te présenter afin qu’on en sache plus sur toi ?
Diplôme d’ingénieur en poche, Damir a travaillé 4 ans dans une SS2I avant de rejoindre Capensis. Désormais Capeneur depuis fin septembre, il explique avoir suivi un parcours assez classique pour un informaticien en commençant par un BTS IG avant de compléter sa formation avec une école d’ingénieur à Tours.
A la suite de nombreuses missions de supervision (monitoring), rejoindre Capensis est pour lui l’opportunité de « travailler pleinement avec des technologies Open Source ».
Qu’est-ce qui te fait te lever le matin ?
« Travailler dans un domaine passionnant où l’on ne s’ennuie pas ; ça et aussi cette saleté de réveil ! (rire) ».
Peux-tu nous en dire plus sur Linux et toi ?
« On peut concevoir exactement ce qu’on veut ! ».
Le nouveau Capeneur explique « Je suis linuxien depuis pas si longtemps que ça, 6 ou 7 ans en fait (même si à l’échelle de ma vie ça fait déjà beaucoup), mais les projets font beaucoup évoluer ». Damir raconte se sentir plus passionné dans la mise en place de solutions à base de produits libres. Il a été séduit par cet écosystème configurable et flexible « Il y a aussi le coté fun avec la ligne de commande plutôt que d’utiliser une interface souvent limitée en possibilités ».
Pourquoi être devenu Capeneur ?
« J’étais à la recherche d’une structure ayant la philosophie Linux et Open Source ».
Comment est l’ambiance au travail ?
« Un esprit startup ».
Il décrit une bonne ambiance, les collaborateurs sont dynamiques et sympas.
Comment t’es-tu senti intégré ?
« J’ai été agréablement surpris ».
Un accueil assez chaleureux, « recevoir des réponses de bienvenue de la part des différents collaborateurs ça fait hyper plaisir tout simplement ! ». Lors de sa première semaine, il a notamment pu connaitre l’ensemble des Capeneurs de l’agence Centre Ouest au cours d’une sortie d’entreprise : un escape game galactique.
Quels conseils donnerais-tu aux potentielles nouvelles recrues ?
« Motivation, passion et surtout être bon aux escape game ! ».
Pour toi, quels sont les best practices d’un IngeSys ?
Beaucoup de passion :
« Aimer ce que l’on fait, vouloir partager son savoir afin de contribuer et être utile aux projets ». Damir précise qu’il faut se tenir constamment au courant des nouveautés en matière de solutions afin d’être force de proposition.
De l’autonomie :
« Il faut faire preuve d’initiative, ne pas attendre d’être alimenté en missions ».
Du pragmatisme :
« Proposer des solutions (techniques) réellement adaptées et justifiées à chaque situation ».
Sur quel projet travailles-tu en ce moment ?
Damir a rejoint l’équipe d’intégration du projet MaaT « Monitoring As A Tool ». Actuellement en déploiement pour un client, la solution d’industrialisation autour de la supervision est également déployée pour un second grand compte. Un projet qui plaît : « C’est une solution complète, fait avec des outils libres. Ça me plaît car on fait de l’industrialisation, de l’auto-configuration et cela avec des technologies Open Source du moment comme Ansible ».
Quels sont tes principaux défis de Linuxien dans les 5/10 ans ?
« Maîtriser le plus possible cet écosystème ».
Pour Damir c’est un challenge infini et c’est tant mieux. Parmi ses défis : être un ingénieur système force de proposition pour être en mesure d’apporter des solutions à chaque besoin. « Montrer qu’avec les communautés ou les éditeurs ayant une philosophie Linux, nous avons la capacité à proposer de vraies solutions alternatives et efficaces ». Il ajoute : « J’ai aussi comme défi de contribuer à divers projets communautaires d’ici là ».
Quelle est la dernière techno que tu as commencé à voir ?
« Ansible ».
Travailler avec des outils d’industrialisation, Damir n’en avait pas eu l’occasion. « J’ai commencé à bien éplucher le sujet. C’est très cool je suis heureux de découvrir cette techno appartenant à la mouvance devops ».